Le ministère de la transition écologique a sollicité les constructeurs, manufacturiers et distributeurs de pneus pour financer à hauteur de 50 % l’association Ensivalor, en charge de leur collecte et du traitement. Les 50 % restants seront financés par l’état.
15 000 tonnes par an maximum seront collectées et traités dans un premier temps. Le stock total doit être réévalué. Il est estimé à 800 000 tonnes. La priorité devrait être donnée aux exploitations cessant leur activité.
Outre le coût, la difficulté est dans l’identification de voies de valorisation. Les pneus stockés des années en extérieur ont bien souvent perdu la souplesse qui permet de les valoriser en granulés. Reste alors, l’utilisation en cimenterie, comme combustible.