« Les mesures d’adaptation des volumes doivent donc être prises pour permettre de passer le cap, gérer la sortie de crise sans remettre en cause la pérennité de l’exploitation et son potentiel de production ou de développement », précise l’Idele.
« La pertinence économique de ces leviers est à calculer en fonction du prix du lait, des éventuelles indemnités et des économies potentielles de charges », précise l’Idele qui privilégie l’activation de leviers réversibles. Ils passent par :
- l’ajustement de la ration (concentré de production, concentré azoté),
- une lactation raccourcie (tarissement),
- l’anticipation des réformes,
- la monotraite,
- la distribution du lait aux veaux.
Ces leviers sont récapitulés dans le tableau ci dessous, élaboré par le Cniel, avec l’appui de l’Institut de l’Elevage.